La fonderie et Piwi

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Par : piwi
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vendredi 09 Avr, 2021
Catégorie : Selon la presse

Fonderie : Les titres de la presse de ce jour : à pleurer !

Franceinfo

Contre la casse sociale chez Renault, les salariés de la fonderie MBF rejoignent la manifestation à …

280 emplois menacés dans la fonderie MBF à Saint-Claude. Devant le site de Renault, les salariés du constructeur automobile ont été rejoints par….

Libération

Fonderie de Bretagne : «Renault est en train d’organiser notre mort»

Jeudi matin, pour la journée nationale «fonderies mortes» lancée par la CGT, des salariés de l’usine de Caudan, dans le Morbihan, ont entamé une

la Nouvelle République

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C’était journée nationale « Fonderies mortes » hier. À Châtellerault, comme dans de nombreux autres sites en France menacés (SAM, MBF, Fonderie …

Le Télégramme

Une journée de mobilisation sociale dans le pays de Lorient

Les assistants d’éducation, les fondeurs ou encore le personnel soignant. Près de 70 personnes étaient réunies, dès

L’Indépendant

Au son des cloches de l’église et la chapelle de Salses

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Aveyron : l’usine SAM de Viviez bloquée depuis ce jeudi matin

Centre Presse Aveyron

… est bloquée ce jeudi dans le cadre de l’opération « Fonderies mortes
Je cherche aussi une fonderie qui serait à racheter

Zone de commentaire !

3 commentaires pour : "Fonderie : Les titres de la presse de ce jour : à pleurer !"

  1. Tristes fonderies françaises.

    On se souvient du FRAM (Fond de Restructuration de l’Acier Moulé).

    Mais aussi de toutes les restructurations avec moultes ventes à des actionnaires type fond de pension et autres

    dont la fiabilité n’était pas du tout garantie sans oublier les yoyos à la RNUR, pardon la Régie Renault, Peugeot et Citröen avec dernièrement Fiat, et les Ardennes…!!!

  2. Les syndicats ont beau jeu de hurler au loup en direction des constructeurs français, mais à mon avis ils se trompent de cible : la faute en revient en premier lieu aux ex-dirigeants et actionnaires de toutes ces fonderies, qui n’ont jamais eu de réelle volonté de réduire la part ultra majoritaire que représentait (ou représente toujours) les constructeurs français dans leur portefeuille. Et maintenant ce sont leurs ex-salariés qui doivent en supporter les conséquences…

    Il n’y a quasi que dans la fonderie automobile où l’on trouve cet état de fait. Combien de décolleteurs français, de plasturgistes, de fabricants de fixations, et j’en passe, possèdent comme plus gros client VW, BMW, Mercedes, Bosch ou ZF par exemple ?

     

    PIWI : Réduire la part majoritaire des constructeurs français dans leurs carnets de commande n’a jamais été l’objectif des dirigeants de ces grandes cathédrales (‘les fonderies automobiles) qui vacillent,

    un bémol important avec les fonderies de PSA

  3. Pour être bien clair : je parlais des fonderies (indépendantes) spécialisées dans le secteur automobile, pas des fonderies intégrées des constructeurs.

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