La fonderie et Piwi

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Par : piwi
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mercredi 24 Mar, 2021
Catégorie : Emploi

Fonderie de Bretagne. Le gouvernement attentif

Ouest France –

Jean-Michel Jacques, député En marche du Morbihan, n’était pas aux côtés des salariés ce mardi 23 mars 2021. Il avait annoncé qu’il serait au ministère de l’Économie pour défendre la Fonderie. Dans un communiqué, il rapporte la réponse à la question qu’il a posée au gouvernement dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale.

Des garanties pour l’emploi…

« Nous assurons le plus grand suivi de ce dossier, a défendu Olivier Dussopt, ministre chargé des Comptes publics. À la fois pour rappeler à Renault ses responsabilités vis-à-vis de ses salariés, notamment eu égard des efforts qui ont été faits pour garantir la survie du site depuis 2019 et au-delà dans le contexte concurrentiel. »

Le porte-parole du gouvernement assure que tout sera fait pour la sauvegarde de l’emploi et le maintien de l’activité en cas de cession.

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1 commentaire pour : "Fonderie de Bretagne. Le gouvernement attentif"

  1. Après la fermeture de l’usine de Choisy le Roi et la mise en vente de la fonderie de Bretagne, la nouvelle équipe dirigeante ne manque pas d’idées !!

    Renault souhaite vendre le Technocentre de Guyancourt (Argus)
    • Par Franck Boittiaux
    • Publié le 23/03/2021 à 10:55. Mis à jour le 23/03/2021 à 10:55

    Renault occupe le Technocentre de Guyancourt (78) depuis 1998.
    Selon le syndicat Sud, Renault a présenté un projet immobilier concernant le Technocentre de Guyancourt (Yvelines) lors d’un CSE organisé fin février. Le constructeur prévoit de vendre le bâtiment emblématique pour devenir locataire de seulement trois quarts des surfaces occupées actuellement.
    Lors d’un CSE organisé le 25 février dernier, Renault a présenté un projet immobilier concernant le Technocentre de Guyancourt (Yvelines), si l’on en croit le syndicat Sud. Dans le cadre de son plan « Renaulution », qui vise à effectuer des synergies et des économies, le constructeur français souhaite ainsi vendre ses bâtiments emblématiques pour devenir locataire de seulement trois quarts des surfaces actuellement occupées ; les bâtiments Gradient, Odyssée et Avancée seraient ainsi loués à d’autres sociétés.
    Concrètement, Renault envisage de vendre, d’ici à fin 2022, 80 % des parts de la SCI Plateau de Guyancourt, filiale à 100 % du groupe Renault qui est propriétaire des locaux depuis son installation en 1998. L’argent récupéré servirait à rénover le site dans le cadre du programme « Re-TCR ». En complément, la généralisation du télétravail et du principe de « flex office » permettrait de libérer environ un quart des locaux pour les louer à d’autres entreprises et ainsi créer un Campus Technocentre. Seul le « cœur TCR », soit les bâtiments Ruche, Diapason, Labo ou CRP, resterait utilisé par le constructeur.
    Le syndicat Sud opposé au projet
    Le syndicat Sud, qui reconnaît par ailleurs la légitimité de Renault de « vouloir rationaliser son empreinte immobilière en Ile-de-France », s’oppose à ce projet immobilier, qu’il juge « inacceptable », puisqu’il « tire sa justification de la réduction des effectifs sur le site avec les 2 500 suppressions de postes en ingénierie/tertiaire », alors que « plus de la moitié des prestataires » ont été « déjà remerciés en un an ».
    En outre, le syndicat estime « hasardeux » dans le contexte actuel de vendre son patrimoine et de « parier » sur le développement immobilier du site. Sud dénonce également la suppression des postes de travail attitrés avec la généralisation du flex office, alors que la surface allouée aux salariés était déjà passée de 8 à 5 m² en 2017.

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