La fonderie et Piwi

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Par : piwi
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mardi 16 Avr, 2019
Catégorie : Selon la presse

Chartres : Clap de fin

c’est l’un des objectifs du toit végétalisé qui a été aménagé sur le nouvel atelier de mécanique automobile et d’électrotechnique, au lycée Jehan de Beauce, à Chartres.

Le chantier de restructuration et d’extension des ateliers de maintenance industrielle du lycée Jehan de Beauce a démarré en juin 2016. Il doit s’achever en décembre 2019.

« Lorsque le concours d’architectes a été lancé, il nous avait été demandé d’être très performants en matière d’économies d’énergie », se souvient Patrick Pichon, architecte du cabinet Giroux-Pichon, de Nogent-le-Roi, qui a été retenu, avec le cabinet chartrain Ostinato, pour réaliser ce chantier.

20 litres d’eau par mètre carré
C’est l’une des raisons pour lesquelles leur proposition de toit végétalisé, au-dessus du nouvel atelier de mécanique automobile et d’électrotechnique, a été retenue.

« Ce toit végétalisé a aussi vocation à freiner l’écoulement des eaux pluviales en cas d’orages violents », ajoute Patrick Pichon. « Il peut retenir 20 litres d’eau par mètre carré ».

Couplé au tube de deux mètres de diamètre enterré sous le parking, ce dispositif permet d’avoir un débit de fuite très faible dans les égouts de la ville de Chartres. « Nous n’aggravons plus, ainsi, le problème d’écoulement des eaux pluviales en cas d’orages violents ».

« Ce dispositif permet d’avoir un débit de fuite très faible dans les égouts de la ville »

PATRICK PICHON, ARCHITECTE
Constitué de cassettes de terres précultivées de 60 x 40 cm, qu’on emboîte les unes aux autres, ce toit végétalisé a été posé en l’espace de trois jours par les ouvriers de la société Soprema, de Mignières.

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1 commentaire pour : "Chartres : Clap de fin"

  1. Ne doit-on pas voir là un signe ?

    L’écologie n’est-elle pas en train de pousser la fonderie (vers l’EST) ?

     

    Piwi : « Quand on voit  (ce que je vais voir le 22 mai à Vierzon) de colossaux investissements au LT de Vierzon, je suis un peu voire totalement dépité.

    Il est aussi regretable que la profession n’ait pas mesuré que des hommes passionnés, compétents, de tous âges, de toutes qualifications, fonctionnaires ou non ,organisés en réseaux bienveillants sont déterminants pour le recrutement et la formation à nos métiers. 

    Les vingt deux  sections de fonderie que j’ai connues sont aujourd’hui portion congrue non pas par défaut d’investissements mais le plus souvent parceque l’isolement des professeurs du milieu professionnel a conduit à ne pas favoriser les recrutements .

    L’écologie c’est très bien mais  il  ne faudra pas s’étonner des  conséquences des choix et des priorités. »

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