La fonderie et Piwi

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Par : piwi
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lundi 12 Juin, 2017
Catégorie : Economie

Les fonderies de l’inventaire du patrimoine industrielle des Ardennes

La surface des usines des établissements Deville à Charleville, Faure et Arthur-Martin à Revin se comptait en hectares. Les bâtiments en brique construits par Arthur-Martin (1929) présentent une succession de toits à longs pans à charpente apparente à l’arrière de bureaux qui accueillaient aussi l’imprimerie de la firme. La dernière construction subsistante de l’usine Faure, l’émaillerie (1934), a été réalisée entièrement en béton armé, avec voûte Caquot. Les bâtiments des unités de petite ou moyenne taille utilisent des modes constructifs et des matériaux divers, qui dépendent de leur époque de construction : souvent, dans la vallée de la Meuse du moins, la structure initiale en moellon de schiste et charpente en bois s’est accompagnée d’ajouts successifs en brique, parpaing de béton, puis bardage métallique. Dernière née du secteur, la fonderie d’acier des Aciéries de Charleville (1948) présente des bâtiments en rez-de-chaussée et à étage en pan de béton armé et remplissage de brique creuse. L’usine Thomé-Cromback à Nouzonville possède un remarquable grande halle en béton armé (1930) dont le modèle avait été rapporté des Etats-Unis.

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