La fonderie et Piwi

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Par : piwi
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mercredi 14 Déc, 2016
Catégorie : Formation

La Magie du moulage

Avec ceux qui comme Piwi découvre le résumé endiablé et photographique de la journée de moulage à Lyon, nous voilà persuadé que la profession avec tous ses acteurs tient là, l’art et la manière de se faire mieux connaître et apprécier.
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Après Chartres, Charleville, Lyon et maintenant dans tous les lycées, mieux que les pièces poubelles que nous avons tous moulées, il est possible de venir s’initier à la fonderie tout en donnant par son choix un avenir à notre propre création.
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Les semaines du travail manuel organisées au grand Palais par Lionel Stoléru (qui vient de disparaître) avaient été des succès pour la fonderie en son temps.

Patrice Moreau dans son article de la Revue Forge Fonderie sur le congrès mondial de fonderie de Nagoya au Japon nous le rappelle : « Il est clair , ici comme ailleurs, la fonderie peut souffrir d’une certaine image, mais elle est par la magie du moulage redorée. Ici comme ailleurs l’apprentissage dès le plus jeune âge doit être mis en valeur ».
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Ajoutons que la magie du métal liquide est la cerise sur le gâteau.
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Cela mérite réflexion auprès de nos autorités qui cherchent à motiver pour recruter pour nos métiers.

Zone de commentaire !

2 commentaires pour : "La Magie du moulage"

  1. Plus de X années après, j’ai un souvenir ému de mon Grand Père Henri qui m’a appris à faire mon premier moule alors que j’avais cinq ans. Quelle erreur d’avoir porté la scolarité à seize ans minimum alors que si un métier était inculqué dès l’age de quatorze ans avec des Maîtres de stage rigoureux, les jeunes auraient mois de problèmes de travail.

  2. Le métier de la Fonderie,il faut vivre avec.Lorsque j’apportais le casse croûte à mon Père, je m’amusais dans le sable blanc, j’étais à la plage sans la mer. Il y avait pas de laissez passer à cette époque , j’allais de partout et c’est la que j’ai aimé le métier en voyant mon Père faire de belles pièces et surtout de voir des noyaux les uns sur les autres, fermer le moule,ensuite la coulée. Ce qui me marqua le plus et j’en garde un grand souvenir,lorsqu’on est enfant,on découvre des choses pour la première fois et ça vous marque à vie,pour moi,de voir rentrer le métal liquide dans le moule et se poser la question où va le métal et mon Père me dit, le métal remplace le vide qui se trouve dans le moule.J’étais à la bonne école.
    Toutes les désignations et les termes techniques de la Fonderie c’est mon Père qui me les a indiqués.De temps en temps je me fais un plaisir de revoir CREUSOT Arcelor Mittal qui a réalisé une coulée à 4 poches pour Aréva, une pièce de 369 tonnes « magnifique ».

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