chez Loiselet.
Catégorie :
Economie
Johan Sauger à la manoeuvre
Optimisez vos analyses métallurgiques avec le nouveau spectromètre SIRIUS 500 de GNR.
Puissant, précis, rapide — conçu pour les exigences des fonderies modernes.
Pourquoi choisir le SIRIUS 500 ?
- ✔️ Technologie CMOS : haute sensibilité et détection de très faibles concentrations
- ✔️ Spectre étendu : de 119 à 850 nm, idéal pour Fe, Al, Cu, Ni, Zn, Ti, Mg, Pb, Sn
- ✔️ Analyse des gaz : O, N, H dans les matrices Ti, Co, Ni, Cu pur…
- ✔️ Temps de mesure réduit/ Interface intuitive : moins d’attente, meilleure expérience
- ✔️ Chambre optique purgée à l’argon : stabilité et précision assurées
- SAV réactif & formations sur mesures : pièces détachées disponibles, interventions rapides, prise en main efficace
- Logiciel EOS® : interface moderne, résultats clairs et personnalisables
- Conformité internationale : résultats fiables et normés
- Accompagnement durable et expérience prouvée : support technique, maintenance, conseils d’experts
Analyser vos métaux
Pour votre laboratoire qualité
Spectromètres et machines d'essais mécaniques,
Installation, formation, maintenance et calibration
Plus d'infos ou une démo ?
Contactez-nous : contact@gnrfrance.com
Le 5 sept. 2014 00:54, « sylvain loiselet » <sylvain.loiselet@hotmail.fr> a écrit :
Bonjour
> depuis 16h ce jeudi 4 septembre 2014.
> mon employeur m’a demandé de quitter sans délai mes activités.
> depuis 18h mon adresse mail sylvain.loiselet@loiselet.com ne fonctionne plus…..
lu dans le point : « Après la fuite des usines vers le reste du monde, sonne l’heure de leur retour sur le sol national. » Ou comment prendre ses délires pour des réalités…
Un an plus tard et malgré les aides de l’État actionnaire, la fonderie Loiselet est en faillite et cette entreprise familiale plus que centenaire se fait racheter à la barre du tribunal de commerce et à la casse par des investisseurs étrangers. Que s’est-il passé ? Apparemment, la relocalisation de la nouvelle usine aurait duré plus longtemps et coûté plus cher que prévu. On est en France, que diable, le pays des complications, des RTT, de la paperasse et des grèves ! Le patron de la fonderie avait sans doute oublié où il (re)mettait les pieds. Bilan : un passif de 20 millions d’euros, dont près de la moitié dus à l’État.
Bien fait ! Les repreneurs ont enfin ouverts les yeux et se sont enfin rendu compte que tout ce qu’annonçait Monsieur Loiselet n’était que mensonges pour sauver sa petite personne… Il y a enfin une justice ! Monsieur Loiselet va connaitre le sort que connaissent ses anciens salariés qu’il a gentiment poussé vers la porte de sortie à la place des repreneurs, et bien je lui souhaite bien du courage car qui va désormais lui faire confiance ?