Selon les Echos
à contre-courant du contexte national, l’industrie choletaise se porte bien mais perd en compétitivité non pas pour des raisons purement économiques mais surtout du fait des difficultés de recrutement « y compris par apprentissage ». Il y a pourtant de véritables débouchés, puisque l’industrie choletaise représente 35% de l’emploi de la région, contre 13% seulement pour l’ensemble du territoire français.
Cette pénurie de main d’œuvre, qui touche tout particulièrement les tourneurs-fraiseurs, les chaudronniers ou les soudeurs, est une « véritable catastrophe » pour certains employeurs.
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lundi, 30 décembre 2013. Lien permanent Emploi
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