Par Les Echos | Victime de son tropisme européen, pas assez présent dans les pays émergents, bridé par la famille Peugeot, qui lui a longtemps refusé une grande alliance, PSA croyait trouver le chemin de la sortie de crise avec GM. Une déception. Le nouvel espoir s’appelle Dongfeng .
Pourquoi Peugeot se jette dans les bras d’un chinois
lundi, 2 décembre 2013. Lien permanent Economie
Peugeot, groupe familial vieux de plus de deux cents ans, bientôt sous pavillon chinois... Ce scénario choc est bel et bien sur la table. Le constructeur automobile Dongfeng et l’Etat français étudient tous deux une prise de participation dans le groupe tricolore. L’enjeu : assurer l’avenir d’un fleuron de l’industrie française, qui emploie 93.000 salariés en France, représente 60 % de la production automobile dans l’Hexagone, reste leader du dépôt de brevets et fait vivre des centaines d’équipementiers, de concessionnaires et de garagistes.
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