Par Piwi,
samedi, 8 juin 2019.
Piwi en vadrouille
.... en escadrille sur la fête aérienne - Piwi a eu le plaisir d'y retrouver son complice et ami Didier Dumée. avec lequel il avait visité en Suisse la fonderie de cloches moulées et de sonnailles forgées : Marius Brugger. Beaucoup se rappelleront du week-end (d'envols de 20 Montgolfières) organisé par nos soins à Vendôme (41) c'était en 1992.

moulées , coulées en bronze &/ou forgées .

Aérodrome de Cerny-La Ferté-Alais, samedi 8 juin 2019. Plusieurs milliers de visiteurs en ont pris plein les yeux en cette première journée de cette fête aérienne de haute volée. LP/Gérald Moruzzi
Le Parisien -
Pour sa première journée, la 47e édition du « Temps des hélices » a déjà réuni de nombreux fondus, venus apprécier en vol comme au sol près d’une centaine d’engins chargés d’histoire. Le meeting fermera ses portes ce dimanche soir.
« C’est un peu comme Disneyland, mais pour les passionnés d’avions. » Captée au vol auprès d’un visiteur amusé, cette boutade pourrait paraître moqueuse si elle ne renvoyait pas vers des yeux chargés d’étoiles et de souvenirs d’enfance. Parmi les fondus réunis ce week-end pour la 47e édition du « Temps des hélices », un meeting aérien très couru organisée par l’Amicale Jean-Baptiste Salis à l’aérodrome de Cerny-La Ferté-Alais, beaucoup ont rêvé de quitter la terre ferme aux commandes d’avions de légende. Le rendez-vous de ce week-end, placé sur le thème des 75 ans du Débarquement, va sans doute alimenter ces envies d’envol.
Des références historiques et culturelles plein la tête, Martial, 43 ans, a navigué plusieurs heures parmi la centaine d’avions rassemblés sur l’immense terrain en herbe. « On a ici la crème de la crème », s’enthousiasme, entre deux séries de photos, cet habitant de Dampierre-en-Yvelines. A l’approche du F4U Corsair, cet avion militaire américain utilisé lors de la Seconde Guerre mondiale et jusqu’à la fin des années 60, Martial retombe en enfance. « C’est l’avion que je voyais dans la série télévisée Les Têtes brûlées », sourit le quadragénaire, dont l’expérience en matière d’aviation s’arrête à la vingtaine de maquettes animant son bureau et seulement huit heures de vol. « Je n’ai pas l’argent pour aller plus loin », regrette-t-il.
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